~~Pepsii~~ Membre
Messages : 38 Date d'inscription : 04/03/2010
| Sujet: Sans nom (pour l'instant ^^) Dim 22 Aoû - 19:33 | |
| Voici voila une histoire que j'ai commencé a écrire, l'histoire est fantastique, vu que ceci n'est que le premier chapitre on ne peux par contre pas encore voir ca (que c'est fantastique ^^). ATTENTION : il doit il y avoir des fautes enormes vu que je ne me suis pas relue, donc attention les yeux XD. Chapitre 1 : Solitude.Juliette tournait en rond, tripotant nerveusement le porte clé accroché à son sac en bandoulière. Elle tournait juste devant un chêne énorme qui, l’espérait-elle, la cachait des élèves qui arrivaient en masse. Inquiète, elle espérait à la fois que cela sonne, pour qu’elle puisse enfin rentrer, mais le redoutait aussi car elle se sentait plus en sécurité ici. Finalement, le conseil de sa meilleur amie s’avérait être complètement inefficace. Juliette se mit à lui en vouloir malgré elle. Pourtant, l’idée d’attendre, caché, que ca sonne pour qu’une fois dans la cour les élèves soient trop occupés à aller en cour pour remarqué qu’elle était isolée n’était pas si bête. Juliette se souvint que son amie avait ajoutée : « mais je suis sur que dès le troisième jour tu te seras faite plein d’amies. » Et pourtant, aujourd’hui était Vendredi, le quatrième jour, et Juliette se sentait plus seule que jamais dans son nouveau collège. Soudain, le son strident fit trembler les murs de l’établissement et Juliette sortit de derrière son arbre. Ses cheveux couleur soleil s’agitèrent au vent, voilant le visage de la jeune fille. Respirant un grand coup, elle les écarta de son visage et se rendit en cours. Quelques heures plus tard, alors que la prof de Français était en train de prendre un malin plaisir à interroger les élèves un par un devant toute la classe, Juliette remarqua quelque chose, dehors. Une femme promenai son chien et celui-ci se débattait comme un fou pour pouvoir courir librement. La femme lui tapa sur la tête et Juliette émit un grognement. Elle s’y connaissait bien en animaux et aurait préférée aller donner une leçon à cette femme plutôt que d’écouter celle de Mme Mallet qui consistait surtout à ridiculiser des élèves. Lorsque le cours pris fin, Juliette se dépêcha de sortir du collège. Alors qu’elle traversait la cour, elle observa les autres élèves. La plupart était en groupe et rigolaient ou se chamaillaient. Seul deux ou trois élèves, don Juliette, marchaient en solitaires, regardant d’un air envieux les groupes d’amis. La collégienne marcha jusqu’au parking, ou son père devait l’attendre. Le soleil commençait à décliner, son aura chaude se répandant sur le feuillage des arbres, le goudron noir et, au loin, le collège, gros bloc de béton. La jeune fille entendit un klaxon et aperçut son père. Il la déposa a quelques pas de la maison, repartant directement pour une réunion de travail.
Lorsqu’elle rentra chez elle, Juliette retrouva avec joie sa petite sœur de deux ans qui s’amusait avec une balle rebondissante. La jeune fille posa son sac dans l’entrée, plissant le nez à l’odeur persistante de peinture fraiche. Il fallait avouer que Juliette aimait sa nouvelle maison, assez design. Elle avait aidé sa mère pour la décoration et était fière du résultat. Il restait beaucoup de cartons amassés dans le garage et elle savait qu’elle devait ranger les siens. Pourtant, après avoir un peu joué avec sa sœur, qu’elle adorait, c’est vers la télé qu’elle se dirigea. Vers 18h00, sa mère ainsi que sa deuxième sœur, Nina, arrivèrent les bras chargé de sac. Nina se jeta sur le canapé, brandissant un T-shirt sous le nez de sa grande sœur : _ « Regarde, regarde !! La fillette admirait sa sœur et lui demandait sans cesse son avis pour toute sorte de chose. Mais elle pouvait aussi se montrer très agaçante et parfois têtue. Juliette la repoussa pour distinguer à nouveau la télé. _Pousse toi de la !! _Aie !! Mais je me suis acheté un nou... _Chhhht !! Et Nina partit en pleurant vers sa mère. Juliette la trouvait vraiment gamine, bien qu’elle n’ai que 7 ans. Elle detestait les petits qui ne faisait que pleurer, crier etc... En plus d’être puéril, le comportement de sa sœur était souvent agaçant et Juliette aurait tout fait pour n’avoir plus que Linda comme sœur. Le lendemain se passa lentement, entre télé, ordinateur et dispute entre sœur. En général, Juliette invitait beaucoup de copine les jours sans collège et elles s’amusaient comme des folles. Mais dans sa classe, il n’y avait que des racailles, une intello et deux filles isolées et à la masse. Parmi les autres quatrièmes, Juliette n’avait croisée qu’une bande de pestes et deux filles qui avaient l’air sympa mais ne restait que toute les deux. A la fin de la journée, lorsque Juliette s’attaquai enfin a quelques exercices de maths elle repensa à Mme Mallet. Le Français, sa matière préférée allait devenir un enfer, c’était sur !! Elle revit la femme et son chien : cela lui faisait penser à ce qu’elle faisait d’ordinaire pendant les vacances d’été. Elle proposait son aide a certaine personne pour s’occuper ou même dresser leurs animaux. Soudain une idée lui traversa l’esprit : et si elle faisait ca ? Cela l’occuperait et permettrai au gens du quartier de la connaître un peu. Peut être même trouverait elle une personne avec des enfants de son âge qui serait sympa ?? Incapable de finir son exercice de conversion de fractions, Juliette se rua sur l’ordinateur et imprima des papiers qui lui serviraient de pub. Le Dimanche matin, la collégienne se leva très tôt, avala son petit déjeuner en vitesse et partit, les mains pleines de coupons, dans son lotissement. Il n’était pas extrêmement grand mais la jeune collégienne savait qu’elle n’aurait pas assez de papier. Elle chercha donc des maisons ou elle pouvait apercevoir des animaux. Le quartier était assez sympathique, contrairement au collège et ses alentour il était nouveau et fleuris. Beaucoup de mur étaient blanc mais par un miracle aucune tache n’élisait domicile sur leurs parois. Les maisons avait toute le même toi en tuiles grenat et des murs blancs ou beige mais leur architecture variait. Après avoir mis des papiers dans plus de six maisons, Juliette arriva devant une bâtisse délabrée. Le lierre grimpait au mur, comme si une main aux longs doigts effilés sortait du sol pour écraser la maison dans son poing. Le portail en bois écaillé devant lequel se trouvait Juliette lui cachait la vue car il était très haut mais elle pouvait distinguer un jardin encombré de végétation qui semblait ne pas avoir été entretenus depuis longtemps... Mais la jeune fille pouvait apercevoir l’herbe qui semblait avoir été tondue à la va vite, comme si la personne qui l’avait fait avait été pressée d’en finir. La maison était sur le même modèle que les autres mais les tuiles des toits étaient tombées pour la plupart et le mur autrefois beige, avait virée au gris souris. Juliette se détourna de la demeure. Elle avait vu un autre vieux chat dans le jardin mais vu son état, il aurait été étonnant qu’il appartienne à quelqu’un. Elle se promit de venir poser une soucoupe de lait ici de temps en temps mais ne mit pas de papier dans la boite au lettre si couverte de poussière qu’on ne distinguait pas le nom des propriétaires.
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Irascible, madame Mallet, une femme de la cinquantaine, cheveux ternes et courts, traversait la salle de classe de long en large. A coté d’elle, le professeur d’histoire la regardait, tellement intimidé qu’il avait l’air d’avoir rapetissé et semblait tout penaud a coté de la femme énervée. _ « Ceci est i-n-a-d-m-i-s-s-i-b-l-e !! Tout simplement !! D’un point de vu social, il est inimaginable de faire cela et d’un point de vu moral tout à fait honteux !! Mr Maes la regardait, toujours replié contre son bureau, tout au bout de la petite estrade devant le tableau blanc pour laisser plus de place à la prof de français qui tournait comme un lion en cage. De ses petit yeux noirs furibonds, il observait la femme, se demandant si il avait bien fait de faire recours à son aide. _Bon, reprit la femme, agacée, je ne sais pas quel est cet nouvelle mode, digne de celle qui vous conduisent habituellement au suicide, mais vous y prendrez fin !! Deux heures de colle pour tous ceux qui rigole quand quelqu’un parle alors qu’il n’y est pas autorisé. Et... Juliette tripotait la fermeture de sa trousse en se demandant à quoi elle allait occuper son lendemain. Les cris de Mme Mallet se perdirent au loin pendant qu’elle repensait a Avant. Oui, Avant. Quand elle habitait encore au seul endroit qui était chez elle. La collégienne ne supportait déjà pas la solitude et était du genre a collé ses amies. Alors maintenant...Cette soudaine absence lui faisait un vide, comme si on creusait dans son cœur à coup de pioche. Bien qu’elle ai vérifié sa messagerie tous les midis et les soirs, personne n’avait fait appel à son aide pour les maisons. Elle pensa à Linda, sa petite sœur si joyeuse qui serait à la crèche et à ses parents partit au travail. Elle passerait son mercredi seule avec Nina, génial !! Elle jeta un coup d’œil à la vieille hystérique qu’elle avait comme professeur principale. Hors de question de passer son temps à réviser les temps, elle n’aurait qu’à faire d’autres coupons pour les maisons qu’elle n’avait pas faite. Il ne restait plus qu’une demi-heure avant la sonnerie qui annoncerait la fin des cours de ce mardi. Une fois terminer ses menaces, Mme Mallet se tourna vers le grand et mince professeur qui commençait à se déplier et a retrouver ses deux têtes de plus que la professeur de français. _ « Bon, notre demi-heure de vie de classe est terminé, nous allons maintenant passer au Français, au revoir !! _Heu oui, oui c’est ca, au revoir..., bredouilla le prof d’histoire. Une fois qu’il fut partit, Mme Mallet commença ses interrogations orales. Juliette aperçu alors dans sa trousse un bout de papier. Elle le prit, intriguée. Le garçon à coté d’elle avait une grosse frange qui lui cachait les yeux et il semblait s’être endormit sur place, Juliette déplia donc la feuille chiffonnée. Au premier coup d’œil, l’écriture semblait être celle d’une adulte. La jeune fille en fut surprise, elle s’attendait à ce que le papier soit écrit par Nina, qui tripotait toujours ses affaires. Soudain, Juliette s’aperçut qu’un espèce de silence s’était installé dans la classe. Quelques personnes parlaient encore mais aucun élève ne semblait être interrogé par madame Mallet. La collégienne leva les yeux du papier et aperçut qu’une des filles du clan des pestes la regardait, à demi amusée. _ « Hééé, hoo. Juliette tourna la tête et vit avec surprise sa prof agiter la main, ses yeux ronds, exorbités. Elle vociféra : _ Je vous réveille, peut être ?? _Ah, heu, non, je... _Quel est le passé antérieur du verbe manger ? Juliette sentit avec horreur que tout le monde la regardait. Elle savait que personne ne pourrait être amie avec elle ici mais elle ne voulait pas être ridiculisée !! Heureusement, certain, révoltés par l’attitude de Mme Mallet tentait de lui dire la réponse mais Juliette savait que ce qu’ils proposaient était faux. La prof répétait « j’attends » et les élèves continuaient de la regarder quand Juliette se demanda ce que dirait ses parents lorsqu’elle serait en retenue. Ils allaient lui faire la morale et...Non ! Ils lui avaient promis de lui donné dix euros d’argent de poche à la fin du mois ! Elle les aurait en même temps des cinq habituels ce qui lui permettrai, en plus de ses économies, de s’acheter quelque chose de sympa. Mais non, a cause de ce maudit passé antérieur elle n’allait pas pouvoir avoir au moins une chose qui lui fasse plaisir depuis des mois. Elle entrouvrit la bouche et dit à mi-voix : _J’eu, je veux dire, que j’eusse mangé ? Juliette fronça les sourcils, d’ou ca sortait ça ? La prof explosa de rire et lança : _Le plus que parfait !! Le plus que parfait au...au subjonctif, oui !! Mais c’est bien ! Bravo !! On apprend des nouvelles tous les jours !! Votre petite cervelle n’arrive déjà pas à assimiler le peu qu’on lui apprend, n’essayer pas de vous souvenir de ce que l’on ne vous apprend pas encore, en plus !! Une heure de retenue, Lundi prochain, pour leçon non apprise. Juliette serra les dents mais ne dit rien. Tandis que la prof notait ca sur un calepin et lui disait l’heure exacte, Juliette le griffonna avec rage sur son cahier de texte. La sonnerie retentit a cet instant et la professeur de Français se mit a noter au tableau un roman pour dicté les devoirs. Parfois, elle vérifierait que les élèves notaient tout. Le genre d’actes que Juliette détestait, à croire qu’ils étaient en prison. La collégienne marqua à une vitesse battant des records et fut une des premières à sortir, évitant soigneusement sa prof.
Juliette remontait une des rues de son quartier, avec encore trois papiers en mains lorsqu’elle aperçut avec surprise une des filles de sa classe descendre d’une camionnette bleue. Elle était garée sur une allée de graviers, deux maisons plus loin d’où se trouvait Juliette. La jeune fille hésita à aller lui parler. La fille parlait à un homme, qui descendait lui aussi de la camionnette, surement son père. Juliette passa ses cheveux blonds derrière ses oreilles d’un geste machinal et se dirigea en inspirant un grand coup vers la grande maison. _Oh, salut !! La collégienne sursauta. La fille, qui avait un nom du genre d’Anne, d’après les souvenir de Juliette, l’avait interpellée, n’ayant apparemment pas compris que Juliette l’avait déjà elle-même reconnue. _Salut !, dit elle en s’approchant. _Tu es...Linda ? C’est ca ? _Non, c’est Juliette, rétorqua t’elle, un peu vexée. _Ah. La jeune fille aux cheveux châtains extraordinairement brillant se baissa pour prendre un sac plastique dans la coffre. T’habite ici ?? _Heu oui. Pars la bas. Juliette désigna l’autre bout du lotissement d’un geste vague. Elle était à la fois heureuse, mecontente et angoissée. Tout d’abord parce qu’elle allait peut être devenir l’amie de cette fille qui la présenterai elle-même a ses amies etc... se qui serai la fin de ses ennuis. Mais, bien qu’elle est l’air assez gentille, la collégienne avait l’air prétentieuse et puis, après tout, elle faisait bien partit du « clan » des filles qui se la jouaient. Et pour finir, Juliette avait un peu l’impression qu’elle devrait maintenant se tenir particulièrement bien en se baladant dans le lotissement, autant qu’au collège. _Tu veux que je t’aide avec tes sacs ?, proposa t’elle. _Heu non...c’est bon...ca va, lanca la fille en soulevant trois gros sacs. Puis elle ajouta, jetant un coup d’œil aux papiers que tenait encore Juliette, qu’est ce que c’est ? _Oh, heu, rien..., elle hésita, je fais...je propose mon aide pour m’occuper des animaux des gens. Les dresser ou s’en occuper pendant qu’ils ne sont pas la, ajouta elle. _Ah. C’est cool. Ca te fait de l’argent. _Oui, aussi. Juliette suivit la jeune fille qui se dirigeait vers l’entrée de sa maison. _Tu as aménagé quand, tu n’étais pas la avant, si ? _Non. C’est bien, ici ?? _Heu, oui, répondit elle en haussant les épaules. Arriver au seuil de la porte, Juliette se dit qu’il serait impoli de rentrer chez quelqu’un qu’elle ne connaissait pas. _Heu bon, je vais aller mettre mes pubs, hein. Elle se tourna et vit que la seule maison qu’elle n’avait pas faite était la vieille bâtisse délabrée devant laquelle elle s’était arrêtée Dimanche. Elle se tourna vers la l’entrée, la fille était encore dans son champ de vision. _Attend !! _Quoi ?, lança l’intéressée, encore encombrée de sacs. _Tu sais pourquoi cette maison est dans cet état ? Juliette désigna la vieille bâtisse du doigt. _Oh. Ce, c’est une maison qui est à vendre depuis des années. Mes parents ne savent pas pourquoi les anciens proprios sont partit mais il parait que quelqu’un a acheté la maison il y a deux semaine. Mes parents ne l’ont vue qu’une fois, c’est une femme assez vieille. Tu devrai pas mettre tes trucs la dedans. Cette fille, on la voit pas souvent, elle n’a même pas organisé de fête pour son arrivée, ou essayer de connaître les voisins. Et puis, t’as vu son jardin ?, elle éclata de rire et un de ses sacs tomba, faisant rouler des bouteilles de lait et des boites de conserves. Juliette entendit le père de la fille crier quelque chose. _Ok, merci du conseil. Mais tu t’appelle comment ?, demanda Juliette, se souvenant qu’elle ne savait pas son nom. _Moi c’est Anaïs, bon, salut. Juliette lui fit un signe de main et sortit du jardin.Voila, je pense que la fin du chapitre tombe un peu à l'eau, j'aurai besoin de vos conseil ^^ Et aussi ce que vous en pensez Edit by argentrie : Uh uh, c'est quoi cette faute ? Sans noM s'teuh plait >< Edit by Kylar: Euh c'pas contre toi Argenterie, mais tu pouvais le corriger toi même U_u'. Titre corrigé. Edit by Pepsii : desow', je me souvenais justement d'avoir vu cette faute de frappe et de l'avoir corrigé, faut croire que j'ai voulus et oublié ^^ | |
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